“Ce n’est ni défaitisme, ni lâcheté, ni faire le jeu de l’ennemi.”
C’est quand la guerre fait rage qu’il faut avoir le courage de la paix. Dire cela, ce n’est ni défaitisme, ni lâcheté, ni faire le jeu de l’ennemi. C’est porter haut une exigence morale et universelle. C’est ramener à l’entendement le seul choix rationnel qui vaille : celui de la vie contre la mort pour éloigner de nous l’absolutisation du néant qui guette alors que le risque de guerre nucléaire est élevé. Pour l’Humanité, la paix n’est pas une option. C’est un choix. Un choix vital. En Ukraine comme au Moyen-Orient, la paix est attendue. Elle demeure la seule espérance possible pour ces peuples, pour l’Humanité et pour le monde.